https://www.liberation.fr/environnement/pollution/pfas-la-loi-visant-a-restreindre-lusage-des-polluants-eternels-definitivement-adoptee-par-le-parlement-20250220_4VHGMING6NCSZDPGSTDVT77J5E/?redirected=1
Es verbietet ab 2026 die „Herstellung, Einfuhr, Ausfuhr und das Inverkehrbringen“ von drei Kategorien von Konsumgütern, die Pfas enthalten: Kosmetika, Wintersportwachs und
Bekleidungstextilien (einschließlich Schuhe).
Das Verbot soll bis 2030 auf „alle Textilprodukte“ ausgeweitet werden, die Pfas enthalten, mit Ausnahme von Schutzkleidung, z. B. für Soldaten und Feuerwehrleute, die durch ihre wasserdichte
Kleidung und die Verwendung von Feuerlöschschäumen gefährdet sind. Küchenutensilien, die Pfas enthalten, werden nicht verboten, da diese Maßnahme der Unterminierungskampagne (mit Mobilisierung
der Belegschaft) des Seb-Konzerns, dem die Tefal-Pfannen gehören, nicht standhalten konnte.
Kontrollpflicht in Trinkwasser
Eine weitere zentrale Bestimmung des Textes ist die Verpflichtung, Trinkwasser, einschließlich „in Flaschen abgefülltes“ Wasser, systematisch auf das Vorhandensein dieser Chemikalien zu
überprüfen, wobei die Gesundheitsbehörden die Ergebnisse jährlich veröffentlichen. Die Europäische Union hat Höchstwerte für 20 Pfas festgelegt, die von den Mitgliedstaaten ab 2026 verbindlich
eingehalten werden müssen. Der Text von Nicolas Thierry geht jedoch noch weiter, da die Tests auch andere Stoffe betreffen können, insbesondere Trifluoressigsäure (TFA), das kleinste Molekül aus
der Familie der Pfas. Außerdem wurde eine Gebühr eingeführt, um Industrieanlagen, die Pfas in die Umwelt einleiten, nach dem Verursacherprinzip finanziell zu bestrafen.
Übersetzt mit DeepL.com (kostenlose Version, editiert von mir)
Bernd Wille
Originaltext:
Il interdit, à partir de 2026, la «fabrication, l’importation, l’exportation et la mise sur le marché» de trois catégories d’articles de grande consommation contenant des Pfas : les
produits cosmétiques, le fart pour les sports d’hiver (produit gras appliqué sur la semelle d’un ski ou d’un snowboard pour améliorer les sensations de glisse) et les textiles d’habillement
(chaussures comprises).
Obligation de contrôle dans les eaux potables
Il prévoit aussi l’extension de cette interdiction, en 2030, à «tout produit textile» contenant des Pfas, à l’exception des vêtements de protection, comme ceux des militaires ou des pompiers –
ces derniers sont pourtant en première ligne, exposés à la fois par le port de leurs tenues imperméabilisées et par l’utilisation de mousses anti-incendie. Les ustensiles de cuisine contenant des
Pfas, eux, ne seront finalement pas interdits, cette mesure n’ayant pas résisté à la campagne de sape du groupe Seb, propriétaire des poêles Tefal (les salariés s’étaient mobilisés en avril à
l’appel de leur direction pour réclamer le retrait de la proposition de loi).
Autre disposition phare du texte : l’obligation de contrôler systématiquement la présence de ces produits chimiques dans les eaux potables, y compris celles «conditionnées en bouteille», avec
publication annuelle des résultats par les autorités sanitaires. L’Union européenne a fixé des valeurs maximales pour 20 Pfas qui devront être obligatoirement respectées par les Etats membres à
partir de 2026, mais le texte de Nicolas Thierry va plus loin puisque les tests pourront concerner d’autres substances, notamment l’acide trifluoroacétique (TFA), la plus petite molécule de la
famille des Pfas. Une redevance a aussi été introduite afin de sanctionner financièrement les installations industrielles à l’origine des rejets de Pfas dans l’environnement, sur le principe du
«pollueur-payeur»
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